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L’expansion urbaine entre développement et limite foncière

L’immobilier fait des émules et intéresse des investisseurs qui choisissent d’investir dans le secteur. Mais reste à faire profiter d’autres régions en l’occurrence celles de la périphérie; pas celles reconnues pour leur opulence urbaine et résiduelle. C’est dans l’équité régionales que les  capitaux en quête de terrains immobiliers  doivent être orientés pour permettre un véritable décollage de politique régionale.

Vouloir placer au Maroc et dans le secteur immobilier des capitaux doit se faire avec de nouveaux concepts dits d’intermédiation immobilière. C’est bien que certains intermédiaires nationaux s’engagent à faire drainer  des capitaux d’investissements notamment celui de l’américain Keller Williams. Une société que certains considèrent comme l’un des premiers réseaux immobiliers mondiaux voulant investir au Royaume.

Cette  société incorpore des vues sur des villes comme Tanger, Marrakech et Rabat, des villes dont les limites foncières n’indisposent pas l’acquisition de terrains dans le périmètre urbain. On se pose donc la question pour le cas de Rabat. D’où peut-on se procurer des terrains pour une expansion urbaine future de la capitale si ce n’est sur la rive atlantique?

Néanmoins, le groupe américain a rappelé, dans un communiqué, que le choix du Maroc n’est pas fortuit. Le Royaume a été désigné destination la plus attractive pour les investisseurs par Africa Investment Index 2018, souligne Keller Williams. Qui le sachant fort d’un chiffre d’affaires de plus 220 milliards dollars, rien que sur les marchés américain et canadien, le réseau Keller Williams n’a commencé à s’étendre à l’international qu’en 2012. Fondée en 1983 à Austin, au Texas, la firme américaine est présente dans 37 pays, hors Etats-Unis et Canada. Elle compte aujourd’hui plus de 900 Market Centers régionaux dans le monde et environ 180.000 collaborateurs et agents indépendants.

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