Economie

La RSE, une œuvre pour promouvoir le développement

La Responsabilité Sociétale d’Entreprise(RSE) se présente aujourd’hui comme concept de motivation qui consiste à faire établir une homogénéité entrepreneuriale confondant salariés/patronat. La contribution des entreprises à ce principe de Développement durable se base sur 3 piliers minutieusement interalliés, cohérents et équilibrés : l’environnement, le social et l’économie.

Les entreprises sont ainsi conduites à réagir à cette nouvelle donne. Tout d’abord, motiver une stratégie de communication liée à cette nouveauté et examiner par la suite les initiatives originales qu’elles ont développées pour s’adapter à cette nouvelle donne.

Cette option, qui vise un équilibre logique entre efficacité́ économique, équité́ sociale et préservation de l’environnement, s’impose désormais comme un engagement au quotidien. Et pour s’acquitter pleinement de leur responsabilité sociale, les entreprises doivent respecter les lois en vigueur et  s’intégrer dans l’ensemble de cette organisation

Pour définir le périmètre de sa responsabilité sociétale, il convient que l’entreprise traite avec les questions centrales de gouvernance, allant de l’organisation, des conditions de travail aux questions relatives du marché : consommateurs et développement local. La RSE est donc comprise comme la mise en œuvre dans l’entreprise des concepts de développement durable, en particulier les secteurs de l’environnement et de l’énergie.

 

Action patronale

 

La CGEM, s’exprimant au nom de ses 88 000 membres directs et affiliés, représentant le secteur privé auprès des pouvoirs publics et institutionnels, et assurant un environnement économique pour le développement des entreprises nationales, se fixe comme principales missions, la valorisation du rôle de l’entreprise dans le développement économique et social, la promotion et l’encouragement pour la mise en œuvre d’une politique de développement entrepreneurial et durable.

Après consultation du Conseil d’Administration, la CGEM fait foi de la Charte et ce depuis 2006.L’engagement et le respect de cette procédure par l’entreprise est essentiel pour sa labellisation RSE. Celle-ci définit les différentes phases que l’entreprise devait entreprendre pour pouvoir bénéficier du Label (RSE). Ce Label demeure une garantie de comportement responsable qui rassure les citoyens, les pouvoirs publics et les autres parties prenantes sur le comportement et les attitudes des entreprises avec lesquelles ils traitent. La procédure identifie impose en effet deux principaux interlocuteurs de l’entreprise à savoir la Commission RSE et le Label CGEM.

Rappelons que la date du 14 décembre 2006, reste notoire dans l’appropriation de la Charte par la CGEM. Celle-ci définit par ailleurs, les valeurs et les comportements que la Confédération promit aux entreprises affiliées, prenant en considération les attentes internes et externes pour la pérennisation et l’amélioration de leur performance.

A nos jours les enjeux de la RSE c’est faire partager les expériences des entreprises engagées sous le giron de la CGEM, qui sont aujourd’hui au nombre de 69 entreprises, et faire promouvoir le label RSE et sa reconnaissance à l’international, pour mieux accompagner les entreprises à s’ouvrir sur leur environnement socio- économique, gage de leur développement.

                                                                                                                                                                                                                                                                                             A. Najim

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